Souvenir d'ange

Les poèmes

J'adore les images, car sans image, je me lève du sommeil je n'ai pas de motif de bouger. Mais là il ne faut pas exagérer sur ce qu'on ne peut comprendre, et gaspiller et détruire ce qu'on ne peut créer. Car là où l'image est absente, c'est là où  la bénédiction est aussi absente, et se soustrait toute les grâces de la vie. Les images valent milles mots. Les images sont la preuve que l'esprit existe. Quelqu'un qui bénéficie d'un  héritage tel qu'une belle image ne sera pas ingrat aux esprits. un visage esclave de la noirceur est un visage ingrat ingrat contre les esprits ingrat contre son propre esprit, un indiviu doté d'un tel visage est un sans-visage. Notre âme ne dit-elle pas par la parole et l,action le reflet de sa pensée? Quelqu'un qui demmeure dans les ténèbres souhaite amener tous les autres dans les ténèbres avec lui, dans sa rage de laideur absolue et le regret de sa conscience pathétique, il a horreur de voir les enfants de la lumioère fnctionner pour leur propre gloire. Alors il essaie de détruire la rivièere goutte par goutte. Les images sont la présence du travail de dieu et des dieux. chaque image a sa place et son respect.



Le sourire fait toujours plaisir. L'innocence nous met en confiance. La bonté nous onne la joie et nous rend confortable. Celui qui recoit beaucoup d'amour donne beaucoup d'amour. La discipline nous rapelle le savoir-vivre.

Amen
Abracadabra
Alpha et Oméga
Amour! Âme! Amitié!






Le don des larmes



Belle de jour, belle-de-nuit
Au soleil et à la pluie
La pluie a fui, quel ennui!
Murmura Belle-de nuit

Le soleil séduit, la poursuit
Belle-de-jour demande sans bruit
Il a fui le soleil
et ce n'est pas minuit
Que fait un temps pareil?
Il n'y a pas de pluie

Comment ne verrais-je plus mes larmes?
Dois-je vivre sans pleurer ni me plaindre
Comme un mort  qui percoit les alarmes
De son corps mais ne peut  les atteindre
Soit un ciel qui se cache  en arrière des brouillards
Et qui ne se laissera jamais pleuvoir

Je devrai voir une fée des rivières
Ou l'ondin , un génie de ces flots
Pour recevoir de ces jolies mères
Les faveurs et la grâce de l'eau

J'aurai le don des larmes
Je pourrais pleurer autant de larmes
Comme les douces rivières
Au matin de leur charme
Et ces belles lavandières
Aux regards très amères


Quelque chose peut me réjouir
J'ai pour toujours, sourire
Une âme douce et cristal
Dans l'arrière-plan opale
une onde vive marchant
au pas de l'eau chantant
J'ai des  larmes au gout  de la mer
Dans les mains, l'arme douce-amère
Un sourire au vague triste
Devant son aura améthyste
Une peau  fraiche
Et une crèche
Vide mais pleine
D'égnime de Silène
Car la chair est sans peur
Quand la paix est au fond du coeur



Et la pluie  n'est-elle pas comme la nuit
Qui nous fait savoir quand il fait jour?
Ô Temps merveilleux qu'est la nuit
Qui préserve nos secrets d’amour?…
Et pourtant dans le nouveau royaume, il n’y aura pas de soleil.
Car l’unique soleil que j’aspire est celui qui brûle en mon âme,
C’est ton coeur qui enrôle mon coeur comme rien de pareil
Quand l'essence de l'amour le plus pur  concevra  la femme
Serais-je une perle d'huitre, au milieu de ce drame?

Le feu donne à qui  pardonne
Sa brillante lueur et sa chaleur
La rivière pardonne
À toute heure
Et je frédonne...
Belle de jour, belle-de-nuit
Au soleil et à la pluie!





































Améthyste

Mon hiver vit vers
le royaume Deux
Mon aura va vers
le royaume bleu

Il y a des pierres rose mauve bleu
et la vie est blanche
car elle n'est pas rose

Mes saisons vont  vers
le royaume Deux
Mon aura va vers
le royaume bleu

Il y a des fleurs rose mauve bleu
noire la nuit est blanche
car elle n'est pas bleue

Améthyste est triste
Au royaume bleu
Mais Rubis l'assiste
Au royaume Deux

Il y a des jours rose mauve bleu
et la dame blanche
aux  bouquet de mauve





  

























J'aime l'hiver



J'aime me couvrir d'hiver
Mon âme au découvert
Je veux de ces moments
glaner de mes malheurs
 le secrets des froideurs
Sans l'état d'âme dément
J'aime mon amant L'Hiver
Sans être de travers
Je m'y voue sciemment

le temps qu'àmène l'hiver
me donne un sentiment
d'émois un peu sévère
Mais de tendres moments
J'ai si peur de l'extrême
Été qui m'a blasé
je sentais la bohème
je me sentais gazé

Mon coeur part avec L'Hiver
jusqu'aux montagnes glacées
sur les arbres ou le vert
gaillard s'est retiré
Au fond des forêts profondes
Que mon génie féconde
que je ne peux oublier

Je pleure au départ de l'hiver
Lorsque me quitte L'Amant
un peu comme a l'envers
des sauvages hibernant
Des adieux, mes douleurs
Font aux larmes, la place
Se fond, en moi, mon coeur
Mon alentour se glace
Car verdissent les arbres d'hiver
Et l'on perd ses abstraits divers

Dès qu'apparait le magnolia
De son rouge festoyant
Ses fleurs  au ton fushia
sur leurs tons vifs et apparant
L'annonce de la belle saison
Me meurtrit je le crains
Car mon âme étant au loin
Ne partage en rien leur raison

Qui comprendra mon calvaire?
Je pleurerai encore l'hiver
Quand me quittera L'Amant
Des adieux, mes tourments
Feront aux larmes, la place
Comme à l'envers les rapaces
Qui s'en vont  ailleurs se faire
un abri loin de l'hiver













































































J'aime le jour


Tout est blanc! Et je l'aime
le temps cet infini
Qui fait vent de ce que j'aime?
Qui me dit qu'il m'aime aussi?
Je l'aime! Il est le jour
Il incarne l'amour
S'il se farde les nuits, en nuit
C'est pour joindre l'ami en lui


Il est dans son palais d'ivoire
comme la plus belle des histoires
J'aime l'Étoile du matin
le lys des vallées aux mystérieux destin
Je l'aime! Il est le jour
Il incarne l'amour
S'il se farde les nuits, en nuit
C'est pour joindre l'ami en lui


J'aime qu'il me fait conseil
C'est mon paradis de lait et miel
Je l'aime quand s'éloignent les montagnes
Son amour, toujours m'accompagne
Je l'aime! Il est le jour
Il incarne l'amour
S'il se farde les nuits, en nuit
C'est pour joindre l'ami en lui



Je l'aime! Il est mon soleil
Sa voix fait des merveilles
Je l'aime! Il est le jour
Il incarne l'amour
S'il se farde les nuits, en nuit
C'est pour joindre sa mie, ma mie


Tout est blanc! Comme je l'aime















































Le Seigneur des astres



Le Seigneur des astres
c'est le grand maître éternel
qui fit les astres,
et leur donna des ailes
Il leur donna à tous un nom
Chaque nom est un vécu,
d'un instant à longtemps.
Chaque nom est l'état d'âme d'un moment.
Soit la tristesse, soit la joie.
Chaque nom ira de soi.
Chaque moment est une pensée.
Chaque pensée est un temps.
Soit le plaisir soit la douleur.
Chaque moment a  sa durée son espace.
L'espace d'une vie c'est une seconde ou un monde.
Chaque monde a sa forme, ses buts, sa victoire.
Soit la lumière, soit l'ombre ou rien.
Chaque lumière va son chemin.
et laisse sa trace.
soit une lueur une étincelle
ou un ombre ou rien.
Et l'étincelle renouvelle la vie,
et l'étincelle c'est le sel,
De la vie à la vie.
La vérité au goût du sel
c'est personnel.
Et chaque personne poursuit son astre.
Et le Seigneur des astres se souci de ses trésors.
C'est son argent, c'est son or.
Alors c'est chacun pour soi!


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Le Jour




Le jour aime se lever
avec la rosée
et les roses des princes
dans leur tâche sacrée
Le jour va se lever
et la rose d'un prince
n'a qu'un souci c'est plaire



Le jour j'aime me lever
et comme la rosée
J'ai une tâche sacrée
Le jour j'aime me lever
Rejoindre l'eau claire
Pour y rincer les pierres
Et les roses et les princes
Pourraient tous me plaire



Quelque chose sur la terre est claire
Comme le crystal ou le verre clair

Elle veut tellement parfaire
Elle s'incline sous la terre
Et ne demande qu'à plaire
Je veux suivre ce courant
Limpide épurant
Et lui donner mes mains
Et mon âme, et mon coeur
J'irai l'étroit chemin
Sans chaleur, ni froideur
Seul le calme et la paix
Diront de leur aspect

Sans s'éclore, ni s'ouvrir
Mon heureux devenir


La beauté nait de  l'aube

Avec la vie , l'air ,  la  grace
Le bleu, le vert  ornent sa robe
La lumiere prend sa place
Au beau matin d'aurore
Ou la nuit exile l'ennui
Un beau matin d'aurore
Encore loin de l'ennui.


Le jour j'aime me lever comme la rose du petit prince et me donner comme tâche sacré le but de plaire. Plaire à moi-même, plaire à ce que j'aime.

Jésus dit qu'il faut se laver le visage, c'est aussi hygiénique que cela fait référence à la beauté. Le jour est beau. L'aurore c'est rafraichissant. Un beau matin d'aurore loin de l'ennui.



































Mon visage


Mon visage à mon âge
celui qu'on a déja vu
est de cette naive chair
Qui m'est chère
y ai-je toujours cru
Comme d'une odeur
Comme à la douleur
de grain de blé qui meurt

Est ce sage mon image
Essentiel sous le ciel
Qu'il soit fait ou défait
Mon visage tel le sel
m'est fidele

Il y a des yeux furieux
qui dévisagent mon visage
sous les cieux
Ils y voient sans limite
et l'imite
Dans mes larmes et mes joies
Qui ne les suivent pas

Ils me dévient pas a pas
vont voyagent aux trépas
dans les risques qu'ils partagent
Peu importe mon ame les fuit
Mon visage dans la glace non froid
envisage dans la glace le froid

Mon visgae dans les âges
Me pleure et me sourit
Là sans rêve mais brêve
Mon visage vise
dans les yeux de ceux qui me lisent
Que dèrrière son mirage
il est celui qu'on a jamais vu




































Le soleil: l'eau qui dort


Le visage qui  faisait l'eau qui dort
A dormi et à son éveil
Rien à voir dans le noir Quand il sort
Lui seul fait le soleil

Au matin de sa clarté divine
Sur toute chose sa beauté domine
Il avait l'os, il était la chair
Un de ses os est devenue sa chère
Il se voient, se désirent, se plaisent
Rien n'existe à qui en déplaise
Et pour bénir la grâce qui fit leur jour
Ils ont unis leur chair pour se batir un tour
Ils ont fait un royaume
Pour y peupler des hommes


L'âme porte la paix
Pour l'honneur le respect
Le visage,  la lumière
Quel qu'en soit la misère
Le repos est  un visage
Qu'il faut être pour parraître
C'est dans le sage
qu'on reconnait l'image


on attarde les yeux sur l'habit la tenue
La courtoisie avec le temps est soutenu
lorsque tombent les masques et les habits soyeux
L'âme qui  reste n'est  pas qu'un simple décor 
Comme l'esprit est du corps le chapeau
Si le visage est agréable aux yeux
Comme un soleil qu'on porte au corps
C'est qu'il est un monde de repos


Mine joyeuse Source de paix
Dont les joyaux subliment l'apect
Que toujours de fraîcheur en soit l'apparence
Puit de sagesse qu'elle préserve l'innocence
Que de son front modeste
Elle couronne nos gestes
Que son doux regard nous inspire confiance
Que ses lèvres bénies sèment partout l'espérance

Le roi est mon étoile
mon attirance astral
que dans ses mains 
a l'heure ou l'on s'endort
s'abritent les corps
et trouvent le chemin






































Elle



Elle cree un visage

qu'elle envisage

Elle vit et elle voit

Quand des images elle imagine!

Elle chante et elle croit

de l'éclair son mystère


Alors elle fait le temps

le temps c'est elle

Elle sème au vent

levant en elle


L'espoir n'est qu'une pensée

Qu'elle pense et elle concoit

D'une pensée, pensée sainte,

D'un esprit, esprit saint,




l'eau  si fine et divine


de sa grâce domine

le feu bleu de sa vie chemine

l'humble parfum qui crée l’air

verse sa vie sur la terre



elle a dans ses mains un ange

Son visage fait l'ange


un élu des saints


de Noble dessein



J'ai trouvé la Mere- divine

celle qui donne l'origine
est la pureessence
elle a la beauté timide

de sa pure innocence 
qui comble son vide


Elle a de l'or
pour se faire un décor
dehors sur  le verglas
elle fait son corps
pour se parer du froid
Et l'amour en son ame
est une fidele flamme
qui comble sa solitude 
et crée l'attitude

sa voix et son écho en mon âme
amène un temps, qui, au temps, réclame
le temps
le temps son âme à elle je me voue
les cordes se nouent
de l'oracle au miracle
à la déesse je  dévoue
mes vertueuses prouesses










































L'âme est une île

Quand le feu qui flamboie
Dans le ciel se déploie
Et que maintes étoiles
Sont tombées sur la toile
De l'île, de l'île

Voilées et maculées
Aussitôt descendues
Plongées dans la marées
En quête du salut
Dans l'île, dans l'île

Lorsque la dame en blanc
Est de noir habillée
Quand recule le temps
Et se cache la fée
Dans l'île, dans l'île

Quand s'éttend des bannières
Pour déguiser la guerre
Envoilant la lumière
Ferme -t-on les barrières
De l'île, de l'île

Quand de sang de la fleur
Devient plus rouge que vif
Quand on vole les coeurs
Et qu'un peuple est captif
Dans l'île, dans l'île

Alors  la mer se meut
Pour soigner et guérir
On se cache des yeux
Et part pour conquérir
Une île, une île

On a trouvé la perle
On a trouvé l'amour
Les vagues se déferlent
Et s'en vont sans détour
Dans l'île, dans l'île

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Âme(beauté jour lumière beauté rivière source maternité femme) http://leptyjournal.blogspot.ca/p/ame.html

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